La justice existe-t-elle sur notre terre ?
Nous sommes tous contraints de constater que tous les êtres humains sont extrêmement différents.
- Nos chances potentielles à la naissance ne sont pas les mêmes selon :
- Notre lieu de naissance ;
- La fortune et l’éducation de nos géniteurs ;
- Notre couleur de peau ;
- Nos facultés d’accès à l’éducation et notre aptitude à apprendre ;
- La vitalité et la santé de notre corps ; etc.
En bref nous sommes tous inégaux et semblons tous porter des fardeaux plus ou moins lourds.
Avons-nous essayé de comprendre pourquoi il est possible :
- D'être riche, beau, en bonne santé et malheureux ;
- Pauvre, laid et gravement malade, sans pour autant se plaindre et tout en voulant « s’accrocher à la vie » ?
Certes les deux cas ci-dessus sont des extrêmes. Mais force est d’admettre que nous en connaissons tous.
Pourquoi les opinions politiques sont-elles à même de diviser des amis et familles dont tous les membres semblent parfaitement « sains de corps et d’esprit » et de niveaux sociaux similaires ?
Le concept "Liberté Égalité Fraternité" est-il crédible ?
Ces dieux auxquels nous croyons ou pas sont-ils justes et miséricordieux ?
Sont-ils au contraire toujours prêts à châtier ceux d’entre nous qui refusent de se plier aux dogmes qu’ils semblent nous imposer ?
Si nous souhaitons sincèrement nous faire une opinion valant réponse crédible à toutes ces questions, il nous paraît indispensable :
- Que nous puissions disposer d’un bon nombre de « pré requis ».
- Que nous fassions ensuite la synthèse des enseignements de ces « pré requis ».
Nous pourrons enfin en conclure que :
- Toutes les âmes ne font qu’un au niveau de l’univers.
- Que la justice n’est concevable que si l’on admet la réincarnation et l’éparpillement perpétuels des âmes.
- Que la dispersion des âmes dans la matière permet à chacune d’entre elles de « bénéficier » d’un « capital identique » de joies et de peines à « consommer » durant un cycle expansion rétraction de l’univers.
Que le karma est l’agent comptable qui permet de contrôler une stricte égalité entre les « consommations » de joies et de peines de chaque âme.