Les spirales sésame de la 3D à la 5D
Ce paragraphe fait appel à des extraits traduits de l'ouvrage ci contre de Radu Cinamar.
Chaque fois que nous dessinons un cercle ou que nous construisons une sphère, nous devons tenir compte de l'apparition du facteur temps, un aspect qui est généralement négligé (par la science actuelle). Si nous tenons compte de cet aspect essentiel, nous ne ferons jamais un cercle, mais ce que nous dessinerons alors, en réalité, sera une spirale car nous ne pourrons pas revenir au point de départ, c'est-à-dire au temps initial que nous pouvons identifier comme "t0". Nous ne pourrons jamais atteindre en même temps "t0", un point de l'espace qui correspond à l'endroit exact où le mouvement initial a commencé, car un intervalle de temps s'est écoulé entre le moment de départ (t0) du cercle et le moment d'arrivée (t1). Dans ce cas, l'erreur fondamentale de la science contemporaine est de minimiser les implications de l'approximation du continuum espace-temps à l'échelle des activités quotidiennes. Les scientifiques ignorent tout simplement le temps en tant que coordonnée de l'espace quadridimensionnel réel, le considérant comme négligeable par rapport à l'échelle dans laquelle nous agissons habituellement.* Dans leurs calculs, ils n'utilisent que l'espace et le temps dans la mécanique newtonienne classique où l'espace et le temps sont deux notions distinctes et, de plus, où l'espace est relatif et le temps absolu. **
* Si le temps est considéré en plus des trois coordonnées spatiales dans l'espace de Minkowski.
** C'est-à-dire qu'il s'écoule de la même manière dans tous les systèmes de référence inertiels. Même sur le plan physique ou concret, si nous traçons un cercle avec un compas et un crayon sur du papier, nous obtiendrons cette ligne "continue" réalisée à l'aide du compas, mais cela demande tout de même un certain temps. Pour la science moderne, ce temps de création du cercle n'influence en rien la forme finale de la courbe obtenue. En revanche, à y regarder de plus près, en dessinant la circonférence du cercle avec le crayon fixé au compas, sa pointe s'estompe un peu car elle est en graphite. Ainsi, lorsque le cercle se "ferme", son rayon ne sera pas le même qu'au départ car il y a maintenant moins de graphite à la pointe du crayon. Même s'il n'y a qu'une différence de quelques centièmes de millimètre ou même de quelques microns entre le rayon de départ du cercle et son rayon à la fermeture de la ligne de circonférence (parce que le crayon a perdu du graphite), cette différence existe toujours et distingue le cercle continu hypothétique de celui qui est effectivement obtenu par traçage. Par conséquent, revenir au même point est impossible car, pendant que nous tracions la ligne du cercle, un certain temps s'est déjà écoulé, disons tn. Nous nous rapprocherons de l'instant initial de départ (t0), peut-être même très près de celui-ci, mais jamais exactement au même point. Cela signifie que nous ne pouvons pas faire se chevaucher le dernier point de la ligne avec le point de départ, car le point final où le cercle se "ferme" se trouve dans une configuration d'espace et de temps différente de celle du début. En effet, à la fermeture du "cercle", le temps a une autre valeur. Donc, en réalité, nous avons une spirale et non un cercle. Quoi que nous fassions et quel que soit l'exemple que nous cherchions, le cercle, en tant que notion mentale, est impossible à obtenir car on ne peut jamais revenir exactement au point d'où l'on est parti avec son tracé.
Spirales et nombres irrationnels
Nos précédents articles, et plus particulièrement : "Les mystères des 52° de la pyramide", "Le Nombre d'Or", "La suite de Fibonacci", démontrent à loisir l'omniprésence des nombres irrationnels Pi et Phi dans le processus de la création.
Toutes les spirales que nous y décrivons et allons décrire ne sont pas visibles à l’œil nu (à cause des perceptions limitées de nos 5 sens).
Tout mouvement implique un changement de direction. La vie et donc la création n'existent que par des énergies dont le mouvement n'est jamais en pause. La vitesse = fréquence x longueur d’onde.
Les galaxies se forment en spirales
Les spirales alpha et oméga de nos corps et âmes
Les spirales de notre ADN nous animent de la naissance à la mort de nos corps physiques.
À la naissance nos âmes s'incarnent dans une spirale lévogyre depuis le monde éthérique; une spirale dextrogyre les raccompagnera vers le monde astral dans les 3 jours achevant une de nos incarnations.
Les vortex sont des spirales
Les ouragans, les siphons, etc. sont des "vis sans fin".
Le mouvement naturel des liquides dans la nature se fait selon la dynamique du mouvement vortexé, spiralé, hélicoïdal, tourbillonnaire. Ce mouvement se fait de façon horaire (dextrogyre) et anti-horaire (lévogyre). L’eau c’est de l’énergie en mouvement. Cette énergie cinétique du mouvement provoquée par la gravitation terrestre va dynamiser, régénérer, revitaliser ou vivifier l’eau.
Ce mouvement vortexé, est le mouvement de l’énergie.
Les spirales animent nos véhicules
Nos vélos
Le pédalier est un cercle (donc une spirale en 4D cf. ci-dessus). L'action sur les pédales voit sa puissance modulée par un cycle sinusoïdal. Prendre un virage avec un deux roues implique une angulation et donc une spirale.
Nos automobiles
Sur 4 roues il faut des engrenages coniques pour s’adapter aux roues de droite et de gauche tant au niveau de la transmission qu'à la bonne "gestion" des virages.
Les pistons de nos moteurs ont un mouvement sinusoïdal. Les moteurs électriques comportent des spirales, etc.
Les spirales animent bateaux et avions