Égrégores spirituels syncrétistes :

Comme annoncé dans notre précédent article, ils se composent de deux groupes principaux:

  • Sociétés "secrètes" plus ou moins discrètes et prosélytes,
  • Sociétés "magiques".

Avant d’aborder les sémiologies spécifiques à ces deux types d’égrégores spirituels, un important rappel et complément sur la puissance et le maintien des égrégores nous semble s’imposer.

Pour ce faire, faisons appel au livre Métaphysicon, auquel nous venons de consacrer un article. Nous pouvons y lire en page 116 le texte suivant :

"Rien n'est pérenne, qu'il s'agisse de la géosphère, de la biosphère (c’est-à-dire le monde physique matériel n.d.l.r.) ou de la noosphère (monde astral). Les êtres de la biosphère ne survivent que si on les nourrit. De même les structures de la noosphère ont besoin aussi d'être "nourries".
Nourri par les croyances et la ferveur des fidèles, un égrégore revêt un aspect bénéfique où maléfique. Quand c'est positif on appelle cela une bénédiction. Quand c'est négatif une malédiction. […]
Dans le cadre de cette malédiction qui frappe les fils de Cham, celui qui la crée, c'est Noé. Son efficacité se trouvera maintenue, vivifiée, si ceux qui en bénéficient d'une part et ceux qui la subissent d'autre part croient avoir foi dans sa puissance. C'est la connivence entre le bourreau et la victime*. […]
Si une structure de la noosphère n’est plus nourrie par-là ferveur des fidèles, son efficacité finira par s’atténuer au fil du temps et cette malédiction-là périclitera. [...]
Quand il s'agit d'un appel à la bénédiction, ces ensembles de mots forment ce qu'on appelle des prières. Quand il s'agit d'une malédiction ce sont des incantations."

Puis page 118 :

"Les anciens égyptiens ont poussé très loin cet usage de l'image et de l'écrit qui se complète par la ritualisation : une façon de sacraliser un ensemble de gestes, d'images, de mots et d’objets. C'est la forme la plus élaborée du rite. D'une part le respect du rituel est une garantie de l'efficacité de l'incantation**, d'autre part celle-ci maintient la pérennité de cette structure du "méta-espace-temps" en la renforçant."

Pour bien lire cet article : ne pas oublier

Un égrégore se nourrit. Il se maintient et se renforce par des formes pensées qui sont plus ou moins :

  • bien codées (langue, symboles bien compris, sonorités, etc.)
  • cohérentes (éviter les mélanges de codes),
  • puissantes,
  • nombreuses,
  • fréquentes,

La sacralisation des lieux de culte, des outils et symboles utilisés est importante et d'autant plus efficace que l'usage qui en est fait génère des formes-pensées identiques ou similaires de la part de tous les participants au culte.

Un rituel qui est modifié au fil du temps perd de son efficacité, surtout si le sens et la symbolique des modifications ne sont pas transmis aux "pratiquants".

Les sociétés "secrètes" discrètes et prosélytes :

Introduction :

Gaétan Delaforge écrivait dans le cadre d’un article publié en son temps par la revue GNOSIS n°6 :

"Il existe une raison importante pour laquelle les groupes ésotériques (quelle que soit leur origine) restent discrets. Leurs symboles, rituels et réunions, répétés à travers le temps, développent un égrégore, ou "esprit de groupe", qui lie les membres, les harmonise, les motive et les stimule afin de réaliser les objectifs du groupe. Il leur permet également de faire des progrès “spirituels” qu’ils ne feraient pas s’ils travaillaient seuls. Un égrégore peut cependant être perturbé par la pensée négative de personnes qui ne sont pas en accord avec les objectifs. Par conséquent, les groupes ésotériques tentent de se protéger de pensées négatives qui pourraient affecter leur égrégore."

La sémiologie qui permet d’alimenter les égrégores de ces sociétés est essentiellement basée sur des réunions organisées selon une succession hiérarchisée de rituels. Ces rituels font appel à des analogies, de symboles, et de textes censés être immuables. Ils encadrent aussi la réalisation de travaux individuels et collectifs qui permettent à chacun "d’apporter sa pierre" à la construction de l’égrégore et à la progression spirituelle individuelle.

Dans la pratique, ces sociétés ésotériques sont constituées et animées par des hommes et pour des hommes (hommes au sens êtres humains bien sûr).
Tous sont donc dotés d’un corps astral plus ou moins purifié de tout ou partie de leurs passions. Nous n’aborderons toutefois pas ici le problème des sectes.

Voyons un exemple qui nous paraît significatif :

Le principal courant ésotérique "discret" actuel est sans nul doute constitué par la franc-maçonnerie. Cette voie initiatique est (si tant est que cela soit possible en quelques mots) "définie" comme suit par Wikipédia :

"Le terme franc-maçonnerie désigne un ensemble d'espaces de sociabilité sélectifs qui recrutent leurs membres par cooptation et pratiquent des rites initiatiques se référant à un secret maçonnique et à l'art de bâtir."

Organisation de la franc-maçonnerie :

Sans entrer dans des considérations historiques et/ou philosophiques, pour avoir une première idée de la "balkanisation" de cette "école de sagesse" il suffit de consulter ce lien non exhaustif pour avoir une idée du nombre d'Obédiences actives sur le sol français.
Chacune de ces obédiences est divisée en Loges qui se réunissent une ou deux fois par mois et se composent d’un nombre variable allant de 7 à quelques dizaines de membres. Chaque Loge constitue un fragment de l’égrégore de son Obédience et pratique l’un des rituels plus ou moins "agréés" par ladite Obédience.

Comment entre t'on en franc-maçonnerie ? :

C’est tout simple :

Il suffit d’être "coopté" par un ami, un fournisseur, un client, un membre de sa famille qui pense avoir vu en vous un profil de "maçon sans tablier". Il est également possible de faire acte de candidature spontanée en écrivant à l’Obédience de son choix. Cette dernière fera alors en sorte de vous mettre en contact avec un membre d’une de ses Loges proches de votre domicile.

Segmentation des francs-maçons :

Voyons à travers ce paragraphe comment le règne de la quantité exacerbe le brouillage des formes-pensées et génère les premières entraves à la maintenance d'un égrégore maçonnique clair et harmonieux :
Il existe plusieurs profils de francs-maçons :

  1. Ceux qui veulent influencer la société en pratiquant une franc-maçonnerie "sociétale" ;
  2. Ceux qui s’imaginent que ne pas en être est une grave faute de gestion de carrière ;
  3. Ceux qui apprécient l’alibi d'appartenance pour passer des soirées avec de bons copains ;
  4. Ceux qui veulent élargir le périmètre d’action de leur goût du pouvoir ;
  5. Ceux qui aspirent à leur perfectionnement personnel.

Les 4 premières catégories n'ont pas à nos yeux un véritable caractère ésotérique, même si les égrégores qu'elle créent possèdent une influence non négligeable. Notons toutefois que toutes les Loges accueillent en leur sein quelques spiritualistes sincères (donc de catégorie 5), leurs égrégores souvent puissants contribuent à la mauvaise image de marque de la franc-maçonnerie véhiculée (entre autres) par les réseaux sociaux. Le risque de ces chercheurs sincères est de se retrouver plus ou moins vite "phagocytés" par l'égrégore dans lequel ils œuvrent.
Il n’est par ailleurs pas anodin de constater que cette cinquième catégorie constitue le plus important segment des membres des "petites Obédiences".

Ces 4 premières catégories, même si elles sont bien sur génératrices d'égrégores spirituels disparates sont  pour nous assimilables à des clubs services voire parfois à des entreprises de lobbying.
Dans le cadre de notre "ligne éditoriale", nous nous en tiendrons donc à la seule cinquième catégorie.

Causes de la "balkanisation" et affaiblissement des égrégores maçonniques :

Le codage des formes-pensées qui alimentent les égrégores maçonniques n'a pas cessé d'évoluer au fil des siècles. Nous n'entrerons pas dans les querelles visant à savoir si les origines de la franc-maçonnerie remontent ou pas à la plus haute antiquité.
Si les antiques apports symboliques, culturels et spirituels ont indéniablement influencé les rituels et enseignements maçonniques, c'est selon nous à l'Ordre du Temple que nous devons le véritable germe de la franc-maçonnerie.

Nous empruntons ici une définition des Templiers que nous donne le site COMPAGNONS DU TOUR DE FRANCE DES DEVOIRS UNIS :

Grands Bâtisseurs, les Templiers s’appuyèrent sur les guildes de Charpentiers et de Tailleurs de pierre, dont l’existence se perd dans la nuit des temps. Les Templiers accordèrent aux Compagnons des Franchises et ceux-ci devinrent des "Francs-Compagnons", des "Francs-Maçons". Les Compagnons apportèrent leurs techniques ancestrales : "le génie du Trait". Une part importante de Symboles et de Rites fut inspirée par les Templiers et commémore encore leur souvenir. Maître Jacques serait le Grand Maître de l’Ordre du Temple."

Au fil des siècles, des problèmes de transmission sont venus altérer le codage analogique initial des trop nombreux rituels. Ces derniers ne permettent souvent plus, à ceux qui les pratiquent, une bonne compréhension du message ésotérique dont ils sont censés être porteurs. Les pratiquer brouille irrémédiablement le canal média astral qui véhicule les formes-pensées des francs-maçons.

Si les égrégores compagnonniques ont su conserver une indéniable puissance, ils le doivent selon nous à l'homogénéité de leurs émetteurs de formes-pensées. Les Compagnons du Tour de France ont tous une puissante foi dans le travail manuel bien fait et leur sentiment d'appartenir à un groupe détenteur de savoirs et de connaissances qu'ils se doivent de transmettre en l'état.

A contrario les Obédiences et les Loges maçonniques voient leurs égrégores perturbés par divers bruits et codages hétérogènes (au sens du schéma de Shannon). Ces perturbations sont liées à la cohabitation des 5 catégories ci-dessus évoquées, toutes sources de codages hétérogènes de leurs formes-pensées.
Aux nuisances de ces fruits du prosélytisme viennent s'ajouter : une perte de puissance liée au nombre de rites et des rituels en permanente évolution.

Outre son immuabilité, un bon rituel implique une gestuelle, des phrases et des sons, des saveurs et des senteurs. Tous ces appels aux 5 sens des pratiquants du rituel doivent êtres porteurs d'un sens analogique commun et compris par tous.

Hélas au fil des ans, la transmission perd de son efficacité. Les Maîtres mal instruits transmettent de leur mieux possible le capital évanescent dont ils sont dépositaires. De nombreux aspects des rituels en viennent à ne plus être "porteurs de sens". Pourquoi dès lors les conserver puisqu'ils semblent ne rien vouloir exprimer ? Pourquoi ne pas les changer par une création qui permettra à son instigateur de laisser l'emprunte de son égo aux générations futures ?

Conclusion sur les sociétés secrètes discrètes :

Nonobstant toutes les faiblesses que nous venons d'évoquer, et sans les avoir bien sur toutes citées, nous pensons que ces sociétés constituent un outil fondamental pour permettre à un cherchant sincère de s’approcher très progressivement et efficacement du processus initiatique tel que nous le décrit R. Emmanuel dans son ouvrage "Réconciliation avec la vie". Ce point de vue nous servira de transition avec le dernier chapitre portant sur les sociétés magiques et vous aidera à comprendre pourquoi nous ne nous considérons ni compétents ni habilités à vous les conseiller.

 

Qualités requises et étapes pour se hisser vers l'initiation :

Dans ce texte issu des pages 249 à 251 du livre ci-contre, il faut comprendre par "âme vieille" une âme qui a déjà expérimenté de nombreuses incarnations, à ne pas confondre avec les âmes primo-incarnées évoquées dans notre article sur "Kali Yuga : jeunes âmes et ensauvagement de nos sociétés".

"[...] Une âme vieille a rejeté les hochets qui amusent les masses, elle sait jauger a leur exacte valeur ce que les hommes appellent « leurs joie » et leurs « grandes douleurs » ; ces divers états d'âme ne résistent pas à un examen calme, purgé de l'élément passionnel, comme s'il était fait par un étranger à notre Terre… C'est alors que la sérénité lui apparaît.

Une âme vieille sent confusément qu'il y a autre chose derrière ces images de la vie, elle négligera le spectacle pour se glisser dans les poussiéreuses coulisses afin de saisir… « Qui » tire les fils des marionnettes humaines, et un jour viendra où la psyché lui tendra elle-même son miroir.

Combien de temps nécessitent une initiation ? Impossible de juger (s'il le voulait, un maître pourrait fixer une durée approximative), tout dépend de la volonté et du stade évolutif du candidat ; en général, on pense qu'un homme qui est attiré par la science spirituelle et qui persévère, a encore une dizaine d'existences à faire ; ceux qui foulent le sentier de la probation, sept environ, les bons élèves acceptés par un Maître, trois. Après les initiations mineures… deux. En somme, tout dépend de l'homme, certains brûlent les étapes, d'autres s'y attardent parce que l'appel manque de puissance. Le but de cette catharsis consiste à ne pas mettre entre les mains des hommes qui ne sont pas maîtres de leurs passions, des pouvoirs redoutables qui en feraient des démons.

Quelles sont les qualités que doivent développer les candidats ?

  1. Le discernement : dont le but est de bien délimiter ce qui est réel de ce qui est irréel, de discerner les causes derrière les effets, de saisir la vie immortelle dans les phénomènes de l'existence et d'avoir la sensation nette que cette existence ne correspond plus aux aspirations spirituelles de l'homme.
  2. La maîtrise intérieure : l'homme doit asservir sa nature inférieure, il doit maîtriser ses passions, ses désirs, ses pensées, il doit reconnaître le « faux moi » comme son ennemi et transformer cette nature inférieure pour qu'elle ne détonne plus dans l'harmonie cosmique.
  3. La tolérance : tolérance religieuse envers toutes les confessions, le respect de la croyance d’autrui, tolérance envers ses frères inférieurs si imparfaits soient-il, reconnaître la vie UNE, dans tous les êtres.
  4. La patience et l'endurance : l'étudiant doit savoir que rien n'arrive qui ne soit le fait de la loi d'évolution ; que cette loi, malgré les apparences, est toujours bonne et juste ; que tout n'est qu'une gestation d'un monde meilleur. Il doit être endurant lorsqu'il subit son karma personnel, avec courage et sans récriminer, il doit être beau joueur et payer ses dettes karmiques sans inutiles lamentations.
  5. L'équilibre : l'étudiant ne doit plus être troublé par les objets des sens qu'il doit calmement dominer ; la joie et la douleur mentale ne doivent plus l'affecter sérieusement, il ne faut pas qu'il devienne indifférent, mais que son équilibre ne soit pas perturbé.

Ceci obtenu, l'étudiant est prêt mais il lui manque encore une chose, c'est le désir ardent de retrouver Dieu." [...]

Les écoles de Sagesse magiques :

Comment s’infiltrer dans une telle société alors qu’elles n’ont pas "pignon sur rue" ?

Pour tous ceux qui pourraient souhaiter s’orienter dans l’une ou plusieurs de leurs différentes voies il nous paraît des plus opportun de rappeler que, conformément aux Lois du Karma : "tout à un prix".
Ce prix ne se paye pas en monnaie mais sous la forme d’une modification de la charge de nos karmas individuel et collectif, mais aussi et surtout sur le poids des épreuves, peines, renoncements et abstinences que l'adepte devra supporter.
Faire appel à un égrégore magique implique de "passer un contrat avec lui". Le mage contracte une sorte d’emprunt auprès des entités du monde astral dans un but plus ou moins philanthropique (hélas parfois satanique).
Comme tout emprunt doit être remboursé, l’adepte doit préalablement bien assimiler les prérequis selon les extraits ci-dessus de l'excellent livre de R. Emmanuel.

Cette conception de R. Emmanuel est renforcée, voire "endurcie" par les extraits ci-dessous du livre traduit des publications de Giuliano Kremmerz : "Introduction à la Science Hermétique" publié en 1986 par les éditions AXIS MUNDI.

Dans la seconde partie de cet ouvrage « Éléments de magie naturelle et Divine », nous pouvons lire :

« La clé de toutes pratiques est subordonnée à la sainteté du disciple sans la sainteté ou là purification successive de son esprit, tu n’accompliras jamais une œuvre divine, et si tu réussis à quelque chose sans la sainteté tu feras œuvre diabolique.[…] Mais il ne faut pas comprendre la sainteté comme le vulgaire comprend la dévotion et la bigoterie ; le Saint est celui qui identifie sa raison d'homme à la raison fatale des choses et des esprits ; le Saint est l'altruiste qui se considère ici-bas comme un voyageur dans un hôtel, en une pause dans son voyage vers l'infini, ultime évolution de toutes les choses créées ; le Saint est celui qui possède la sagesse de ne pas s'illusionner sur les raisons visibles et qui se fait digne de la science de Dieu. […]

On étudie la philosophie, on discute les idées, on explique les symboles, mais pour apprendre l'art magique après avoir appris la philosophie de la Magie il faut posséder 3 choses :

  1. La volonté sans désir ;
  2. La force d'agir sans s'arrêter ;
  3. La pratique pour ne pas se tromper.

Celui qui désire ne peut vouloir. Le désir est un appétit de l'illusion qui paralyse la volonté […] »

Dans la troisième partie de ce livre intitulée : "Les mystères de la Thaumaturgie" :
[…] Ces mots puissants sont des chants et des émissions articulées de volonté. Animés ou non par des idées concrètes, ces mots sont d'autant plus puissants qu’ils ont été magnétisés par d'autres opérateurs, et qu'ils répondent par les sons aux idées que l'on veut réveiller.
Les psaumes des hébreux sont magiques. Mais en hébreu ils sont plus efficaces que les psaumes latins, il faut posséder la clé pour les utiliser. Mais les imprécations, les exorcismes et les sortilèges de la magie égyptienne et chaldèo-syrienne sont plus puissants que les psaumes parce qu’en les prononçant ou en les chantant, on réveille non seulement les idées de ceux qui nous ont précédés dans la zone astrale, mais on réveille aussi, pour les revitaliser, les esprits âgés de plus de cinquante siècles de pratiquants qui ont répété ces idées mécaniquement.
Aussi ses sortilèges ne sont-ils livrés qu’à ceux qui savent les mériter car ils constituent des forces déjà activement vitalisées par elles-mêmes, à tel point que les effets sont rapides et précis, à la différence des prières déjà entrées dans la liturgie catholique (les psaumes) qui ont une valeur relative à cause de la manière différente dont elles ont été utilisées. […] Certains mots que l'on ne répète pas en vain, sont le patrimoine de très rares hommes qui en perdent la faculté s'ils en abusent parce qu'ils les ont appris directement du ciel d’Éa et chacun de ces mots contient en synthèse un acte de création en germe. […]

N.B. : Éa : Dieu de la mythologie Mésopotamienne (2.000 ans avant notre ère). Dieu des eaux douces souterraines, de la sagesse, des arts et techniques, magie et exorcisme.

Éa

Conclusion sur les égrégores magiques

Après lecture de ce qui précède, il est aisé de comprendre la puissance des entités que forment les égrégores magiques.

Ils sont régulièrement entretenus par des âmes pures (hors rituels sataniques) et donc inaccessibles à la plupart des âmes. Ils ne sont pas pollués par des apprentis sorciers imprudents qui sinon l'apprendraient très vite à leurs dépends.

Leur pratique exige du temps, et le respect de rituels très précis qui s'avèrent énergivores et chronophages.

Si vous deviez être concernés par ces pratiques au cours de votre incarnation présente, souvenez vous encore du vieil adage : "Quand le Disciple est prêt, le Maître paraît".

Mais à défaut d'être des saints : abstenons nous !

3 commentaires

Merci pour ce partage et cette ouverture.
Avec ma reconnaissance fraternelle
BBB

Merci Alain nous sommes heureux de contribuer à la transmission.

[…] le dernier paragraphe de notre article « Sémiologie pour des égrégores puissants », publié en décembre 2020, nous avions abordé le sujet des écoles de sagesse […]

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